J’accompagne les femmes souffrant d’endométriose qui souhaitent devenir actrices de leur santé et de leur mieux-être via la sophrologie : se réapproprier son corps, apaiser les douleurs, diminuer le stress et la fatigue, accompagner ses émotions…

QU’EST-CE QUE L’ENDOMÉTRIOSE ?

L’Endométriose est une maladie gynécologique qui touche près d’une femme sur dix, entre 20 et 50 ans (la maladie disparaît naturellement à la ménopause). Elle se caractérise par la formation, en dehors de l’utérus, de tissus formés de cellules endométriales. Ainsi, de l’endomètre se forme ailleurs dans le corps, se greffant sur les organes tels que la cavité utérine, les ovaires, les trompes de Fallope ou encore le péritoine ou le rectum. L’endométriose provoque une grande fatigue et des douleurs handicapantes au quotidien (douleurs pelviennes, abdominales, parfois dorsales, digestives et lors des relations sexuelles). En plus des conséquences physiques, elle peut provoquer une souffrance psychologique (découragement, angoisse, tristesse…), l’infertilité et l’isolement (rupture de la vie sociale, arrêts de travail répétés…).

ENDOMÉTRIOSE ET SOPHROLOGIE :
« mieux vivre avec mon endométriose »

Ayant moi-même de l’endométriose et l’ayant découvert en me formant à la sophrologie, j’ai souhaité associer mon expérience de l’une et de l’autre pour accompagner les femmes qui sont atteintes d’endométriose.

Je vous accompagne en séance individuelle pour une approche personnalisée ou sous la forme d’ateliers et stages pour bénéficier de la force du groupe et ainsi échanger et partager avec d’autres femmes.

La sophrologie s’appuie sur une approche globale de l’être humain : une approche qui considère que corps, émotions et mental sont intimement liés et ne peuvent pas être appréhendés séparément.

Programme « Mieux vivre avec mon endométriose »

C’est en ce sens que j’ai construit mon programme d’accompagnement de l’endométriose autour de 3 axes principaux : le corps, les émotions et le mental. Il s’adapte à chaque femme, vise à retrouver l’équilibre et à mettre en place ses propres solutions pour cheminer vers un mieux-être.

1/ Le corps

* Renouer avec ses ressentis – mieux connaître et écouter son corps, prendre soin de soi.

* Apaiser la douleur – observer et accueillir ses douleurs, apprendre à détendre son corps, développer la bienveillance vis-à-vis de son corps.

* Diminuer la fatigue et renouer avec sa vitalité – récupérer, améliorer son sommeil, retrouver de l’énergie, se poser, s’installer dans le présent.

2/ Le stress et les émotions

* Relâcher ses tensions, apprendre à se détendre, renforcer ses ressources et ses capacités, apprendre à prendre du recul par rapport à l’endométriose, par rapport à soi, aux autres et à son environnement, lâcher-prise…
* Se recentrer, mieux vivre avec ses émotions : colère, irritabilité, tristesse, frustration, peur…

L’excès de stress joue un rôle particulièrement important sur l’endométriose : il  favorise l’inflammation, a un effet sur nos défenses immunitaires, il intensifie l’anxiété, il est à l’origine des troubles du sommeil, de la fatigue chronique ; il augmente le ressenti de la douleur. Nous avons donc particulièrement intérêt à mettre en place des outils pour apprendre à le réguler.

3/ Le mental

* Renforcer la confiance et l’estime de soi – développer ses ressources internes pour apprendre à vivre plus sereinement et plus positivement.
* Se sentir soutenue et écoutée – partager sur son vécu de la maladie, ses ressentis, ses émotions…
* Se préparer aux rendez-vous et examens médicaux.
* Être accompagnée dans un parcours PMA.

© Copyright Alexandra Delmas